Les ethnobotanistes ont été les premiers à mentionner dans leurs écrits les vertus du Morinda citrifolia, ou fruit du Noni. Les premiers écrits remontent à 1866. Il est également fait mention du Morinda citrifolia plus tard, dans les récits des voyages du Capitaine Cook dans la région du Pacifique.
IL existe près de 20 études ethnobotaniques documentées consacrées au fruit du Noni, sans oublier des douzaines d'articles qui font mention du Morinda citrifolia, et nous continuons à en trouver davantage.
Les études approfondies menées par Heinicke l'ont conduit à la découverte d'une substance nutritive très importante, la proxéronine, et éventuellement à la découverte du Morinda citrifolia, communément appelé Noni.
Heinicke a consacré 40 années de sa vie à rechercher une source fiable où se procurer cette substance nutritive indispensable et à mettre au point un procédé capable de rendre la proxéronine biologiquement active dans le corps. Il a découvert que la meilleure source de proxéronine était le fruit du Noni cultivé dans une région aux conditions climatiques et pédologiques propices.
Dans le cadre de ses recherches consacrées au Noni et à la préxéronine, Heinicke a découvert que la proxéronine était l'un des éléments permettant à notre corps de fonctionner normalement.
Bien qu'elle soit inactive par elle-même, il a découvert qu'une fois consommée, la proxéronine se combinait à certains enzymes dans le corps pour créer l'alcaloïde active connue sous le nom de xéronine.
La xéronine est conçu spécifiquement pour se combiner à certaine protéines du corps afin de constituer une unité puissante entièrement fonctionnelle, capable d'exécuter toutes sortes de tâches selon le type de protéine à laquelle elle est rattachée.
Certaines protéines, dont la fonction est affectée par la xéronine, comportent des anticorps servant à soutenir le système immunitaire, des hormones qui coordonnent l'activité et la croissance à l'intérieur du corps, et des protéines membranaires permettant l'absorption des nutriments et leur utilisation par les cellules et enzymes qui facilitent la production chimique dans le corps. La xéronine est absolument indispensable pour que ces protéines puissent exécuter correctement leurs fonctions.
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